La solitude féminine : fléau de ce début de siècle

La solitude féminine : fléau de ce début de siècle

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La solitude constitue l’un des plus grands fléau de notre siècle. Il semblerait que les femmes soient plus isolées que les hommes. Les hommes dont l’équilibre dépend d’une présence féminine sont rarement seuls, solitaires ou célibataires. Tandis que les femmes assument plus facilement leur célibat même si elles en souffrent le plus souvent.

Nous remarquons une indépendance, une autonomie féminine qui s’accomode très bien du célibat jusqu’au moment où la question de l’enfant se pose d’autant plus violamment que ce n’est plus un homme en tant que tel qui fait défaut mais un géniteur.

La science aujourd’hui répond très bien à ce type de problématique. Il n’en demeure pas moins que de nouvelles solitudes prennent forme, si bien qu’il est très difficile d’y palier car ni la famille, ni les amis, ni les collègues ou les voisins n’apportent l’affection et l’amour nécessaires à une existence féminine.

Malgré la multiplicité et le développement de la techique, les vraies rencontres sont très rares. Dans une société où les rencontres durent moins d’une heure à la suite de contacts par internet le plus souvent, l’humain passe au second  ou au troisième plan.

Les véritables relations humaines exigent du temps, de l’investissement et certaines valeurs morales. Il est évident que lorsque demander le nom de la personne rencontrée constitue une transgression des règles spécifiques aux sites de rencontres, lorsque certaines questions sont interdites, la relation demeure inexorablement superficielle.

Peut-on encore parler de morale et de valeurs humaines au XXIe siècle ?