Thérapie familiale, comment résoudre les conflits de famille ?
'histoire de la mésentente au sein de la famille est vieille comme le monde, mais pas insoluble pour autant !
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La thérapie familiale

Familles! je vous hais! Foyers clos; portes refermées; possessions jalouses du bonheur. (André Gide)

 Naissance de la thérapie familiale

L’histoire de la thérapie familiale et de la mésentente au sein de la famille est vieille comme le monde. Dans la Bible, déjà, il en est question avec Caïn et Abel.
Il s’agit de deux frères qui se haïssent, d’une fratrie, non d’une famille ? Peut-être pas. Car lorsque les relations au sein de la fratrie sont perturbées, c’est bien que la relation entre les parents est déficiente. Caïn et Abel, Rémus et Romulus, plusieurs cultures insistent sur la question de la haine au sein de la fratrie. Que se passe-t-il entre les parents puis, entre parents et enfants pour que les enfants en viennent à se haïr ?

 Sur combien de générations cette même défaillance s’inscrira-t-elle ?

Que leur transmettront-ils ? Consciemment ? Et inconsciemment ? De quelle manière les aimeront-ils ? Cet « amour » sera-t-il réellement de l’amour parental ? Ne sera-t-il pas parfois voire souvent de la haine ? D’autres fois, la simple répétition de ce qu’ils ont pu recevoir agrémenté différemment. 

Entente et mésentente au sein de la cellule familiale

Qu’avons-nous entendu au sein de la famille pour ne pas pouvoir s’entendre avec l’autre ? Et de quoi avons-nous été les témoins ? Qu’avons-nous ainsi compris à notre insu? A notre in-su, inconsciemment. L’entente a-t-elle quelque chose à voir avec l’affection, l’indifférence, voire la haine que nous avons à l’égard de notre famille? Comment guérir de cette maladie appelée « haine »? 

Refuser de suivre le chemin de la destruction

Si la thérapie familiale existe, ce n’est que pour gérer toute cette « violence originaire », toute cette agressivité contenue ou parfois même « actualisée », passant à l’acte, afin d’en comprendre les origines, d’analyser et de verbaliser les ressorts et les fonctionnements. Souvent, voici ce que certains patients me disent : « je ne veux pas répéter les erreurs de mes parents, je ne veux pas transmettre à mes enfants ce que j’ai moi-même reçu ». Le rôle du psychanalyste sera ainsi de clarifier ce désir, de définir et de déterminer le désir inconscient et non pas de se limiter au discours conscient.

Le « foyer clos » gidien n’est pas une fatalité. Rien ou presque rien n’est une fatalité, si le vrai désir au sens lacanien du terme subsiste. Commençons par poser les vraies questions pour pouvoir donner les vraies réponses. 

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